Candidat·e pour le Conseil d'Administration SmartCoop
Avez-vous déjà été engagé·e au sein de Smart (CA, Comité d’éthique, Smart in Progress, autres) ou avez-vous de l'expérience dans d'autre·s coopérative·s ?
Non, ce serait une chouette première dans le domaine coopératif !
Dans le domaine associatif j’ai monté l’ASBL Le Biais Vert (Média sur l’écologie et l’environnement) et gère sa gestion journalière, organise et gère les CA, les bilans..
Votre métier, votre activité :
Je suis directeur des productions pour des programmes de TV et des documentaires. Lire : je fais en sorte que les projets se fassent et je règle tous les problèmes imaginables. (Oui, même trouver un hélicoptère pour demain.)
J’ai plusieurs casquettes hors de mon activité professionnelle, comme producteur pour l’ASBL Le Biais Vert et comme photographe notamment qui me permettent de rester en contact avec ma créativité.
Que pouvez-vous apporter au projet Smart ? Quelles sont les compétences et expériences que vous souhaitez apporter au sein du conseil d’administration ?
Une écoute et un souci de comprendre le point de vue de l’autre, pour pouvoir intégrer un maximum de points de vue dans la prise de décisions.
Une grande envie de continuer à faire avancer le système coopératif belge.
Une écoute et une compréhension des conditions et attentes des nombreux co-sociétaires avec lesquels je travaille dans l’audiovisuel.
Et évidemment une bonne humeur et une porte toujours ouverte !
Pourquoi vous présentez-vous au Conseil d’Administration ?
Je suis bien évidemment directement concerné par les directions que prend la Smart, mais j’ai surtout envie de m’impliquer dans le projet qu’est la coopérative pour rendre ce que j’ai reçu ! Il s’agit d’une vraie charge de travail supplémentaire, mais qui fait pour moi beaucoup de sens.
Plus spécifiquement je pense qu’on peut rendre la compréhension des outils de la Smart plus claire, et être à l’écoute des sociétaires quant à leurs besoins. Je pense aussi qu’un regard et une présence plus jeune puisse être un autre point de vue et de contact pour les sociétaires et le CA.
Comment voyez-vous Smart dans le futur ? Quelle est votre vision à terme du projet ?
Pour moi la Smart doit continuer de proposer une alternative à des modèles trop lourds ou compliqués, que ça soit comme alternative à un statut d’indépendant, de pouvoir lancer une activité avec des moyens plus simples.
Et évidemment rester un phare et un modèle d’inclusivité et de citoyenneté, qui puisse continuer de contrer l’ubérisation et la précarisation du marché du travail en Belgique et partout ailleurs.
J’aimerais qu’à terme, la Smart puisse être un outil pour les sociétaires et un vrai point de rendez-vous pour rencontrer d’autres artistes ou artisans, et un point de formation pour chacun.