Une analyse de Robert Neys, publiée le 1/12/2014

Thèmes: #Financement de la culture, #Politiques culturelles

A l’occasion du triple scrutin de mai 2014, l’association Smart a tenté de ramener la culture dans le débat électoral en organisant une série de rencontres à Bruxelles et à travers la Wallonie.

Depuis, les gouvernements se sont mis en place, avec des politiques de rigueur et d’austérité qui n’épargnent pas le monde culturel. La culture est plus que jamais saisie dans une logique de marchandisation.  Il y aurait trop d’artistes sur le marché  et ceux-ci apparaissent de plus en plus précarisés, alors que les industries culturelles prospèrent…

Face à cette situation, on ne pourra pas faire l’économie d’une réflexion sur les fondements de la politique culturelle.