Cette étude vise à montrer l’interdépendance entre d’une part la coopération et l’économie sociale et solidaire (ESS), et d’autre part la puissance publique. L’hypothèse est qu’un changement d’ampleur, telle l’ambition souvent revendiquée par le mouvement coopératif de dépasser le capitalisme industriel ou financier, n’est possible que par l’action coordonnée de l’ESS et de l’État.