Historique
2019
- Nomination de Anne-Laure Desgris et Maxime Dechesne à l’administration déléguée
- Couleurs, logo, calligraphie, habillage général, dans neuf pays, Smart a fait évoluer son image au même instant. En 24 heures, la nouvelle page visuelle fut tournée partout en Europe
- Publication d’un mémorandum politique en vue des élections européennes et belges du mois de mai, centré sur quatre dimensions clés : l’Europe, la démocratie, la protection sociale et l’entreprise partagée comme modèle de production.
2018
- Mise en place d’un comité d’éthique suite aux recommandations d’un groupe de travail de sociétaires.
- Poursuite et renforcement de la démarche participative Smart in Progress.
- Aboutissement de la phase de conceptualisation du “Design de services” visant à repenser les services de Smart au travers de quatre déclinaisons pour répondre encore plus efficacement à l’ensemble des besoins des sociétaires. L’objectif est de passer d’un même design pour tous à un design pour chacun, selon ses besoins.
2017
- Ouverture de l’accès au sociétariat aux membres, utilisateurs des services, clients (donneurs d’ordre), fournisseurs, personnel permanent et partenaires
- Élection du premier conseil d’administration de la coopérative lors de l’assemblée générale, après un appel à candidature et une campagne ouverte
2016
- Clôture des six mois de réflexion participative autour de l’avenir de Smart, avec notamment les recommandations des quatre groupes de travail mais aussi le plan d’orientation stratégique “Smart 2020” voté lors de l’assemblée générale constitutive de la future coopérative
- Création de “SmartCoop”, société coopérative à responsabilité limitée à finalité sociale (SCRL SFS)
2015
- Lancement du processus de réflexion participatif “Smart in Progress” en vue de redéfinir le projet : pour qui et avec qui, les outils nécessaires, le modèle économique et la gouvernance (quatre groupes de travail)
2014
- Plan d’action “Quel avenir pour Smart“, qui propose la transformation du groupe en coopérative
- Mobilisation contre la réforme du statut d’artiste – recours en annulation de l’article 48bis de l’arrêté royal du 25/11/91
- Arrivée de Sandrino Graceffa à la tête de Smart
- Lancement de la seconde édition de la campagne “Je vote Culture” en vue des élections régionales, fédérales et européennes de mai 2014
2013
- Mobilisation organisée à l’occasion du prononcé du jugement dans le procès “Artistes vs. ONEM” qui oppose quelque 250 artistes à l’ONEM
2012
- Première édition de la campagne “Je vote Culture“
2011
- Lancement de la pétition pour le maintien et la sécurisation du statut de l’artiste. 23.000 signatures sont remises à la Ministre de l’Emploi
- Reconnaissance comme Bureau Social pour Artistes
2010
- Rédaction d’un mémorandum dans le cadre des élections fédérales
- Première exposition de la collection Smart, construite autour du thème “portraits d’artistes”
2009
- Démarrage de SMart en France
2008- 2007
- Redéploiement de l’asbl Smart en plusieurs entités juridiques distinctes, dédiées à encapsuler chacune un des services proposés par l’asbl (contrats, activités, services à caractère financier, etc.), chapeautées par une Fondation privée, “SMartBe”
2007
- Mise en place d’un service de leasing pour l’achat de matériel professionnel
- Attribution du prix d’économie sociale Roger Van Thournout
- Participation aux négociations sur la loi “Monfils” relative à la modification du régime fiscal des revenus des droits d’auteurs et droits voisins des artistes
- Mise sur pied d’un bureau d’études, chargé d’analyses et de publications multidisciplinaires autour du secteur culturel
2006
- Création du service “Formations“
2005
- Lancement d’une nouvelle interface d’encodage des prestations pour nos membres
2004
- Collaboration aux États Généraux de la Culture de la Communauté française
2002
- Adoption de la loi sur le statut social de l’artiste qui étend l’application de la sécurité sociale des travailleurs salariés à toutes les personnes qui, sans être liées par un contrat de travail, fournissent des prestations artistiques et/ou produisent des œuvres artistiques contre paiement d’une rémunération pour le compte d’un donneur d’ordre (c’est l’article 1er bis qui entre en application en juillet 2003)
2001
- Création du Fonds de garantie salariale en vue d’avancer le paiement des salaires sans attendre le paiement de la facture par les donneurs d’ordre mais aussi d’en garantir le paiement en cas de faillite
- Démarrage du service de gestion d’activités
- Participation aux négociations sur la réforme du statut de l’artiste aboutissant à la loi du 24/12/2002
- Opposition à la tentative de l’ONEM de restreindre l’application de la “règle du cachet”
2000
- Contribution aux travaux de la Plateforme Nationale des Artistes en vue de défendre un statut social et fiscal adapté pour les artistes
1998
- Naissance de l’asbl “Société Mutuelle pour Artistes” (en abrégé “SMart”)
- Mise en place du service de gestion des contrats